Mission Pays Basque
Nous avons été prévenu, par une de nos source, que des rumeurs circulaient quant à un rôle important du Pays Basque dans l'approvisionnement en vivres, mais également en armes, de l'Armée de la Sainte-Cane.
L'interêt de détruire un tel approvisionnement s'est rapidement révélé être fondamental pour notre combat, et l'envoi d'une mission de reconnaissance fut décidé en seulement quelques heures par notre haut conseil. Mais le manque évident de moyens à cause des attaques répétées sur nos bases, n'ont permis de débloquer que 3 personnes pour cette mission. Je me suis joins à eux.
La première difficulté a été de trouver un logement des plus discret dans cette région. La deuxième difficulté fut de nous y rendre sans être repéré. La troisième difficulté fut de couvrir tout le territoire, difficulté insurmontable qui nous a fait nous focaliser uniquement sur les alentours de Saint Jean-Pied-de-Port et Saint Etienne de Baigorry. Nous avons alors silloné bon nombre de crêtes, desquelles la vue remarquable ne nous a malheureusement pas appris grand chose. Notre équipement de très haute technologie ne nous a pas non plus bien aidé et au bout de deux semaines, il a bien fallu se rendre à l'évidence que le Pays Basque ne fournissait rien du tout à l'Armée ennemie.
Par contre, nous sommes quand même revenu avec une explication pour l'absence d'attaques lourdes dans cette région. Le Pays Basque est envhi depuis semble-t-il longtemps, et les habitants nous l'ont confirmé, par un nuage de mouches qui ont du gêner les manoeuvres ennemies.
Mais attention à qui veut croire que le Pays Basque est un havre de paix puisqu'il échappe à ce conflit. La présence des mouches et les maladies qu'elles véhiculent sont une menace importante pour les populations allochtones.
Ainsi se termine mon rapport.
L'interêt de détruire un tel approvisionnement s'est rapidement révélé être fondamental pour notre combat, et l'envoi d'une mission de reconnaissance fut décidé en seulement quelques heures par notre haut conseil. Mais le manque évident de moyens à cause des attaques répétées sur nos bases, n'ont permis de débloquer que 3 personnes pour cette mission. Je me suis joins à eux.
La première difficulté a été de trouver un logement des plus discret dans cette région. La deuxième difficulté fut de nous y rendre sans être repéré. La troisième difficulté fut de couvrir tout le territoire, difficulté insurmontable qui nous a fait nous focaliser uniquement sur les alentours de Saint Jean-Pied-de-Port et Saint Etienne de Baigorry. Nous avons alors silloné bon nombre de crêtes, desquelles la vue remarquable ne nous a malheureusement pas appris grand chose. Notre équipement de très haute technologie ne nous a pas non plus bien aidé et au bout de deux semaines, il a bien fallu se rendre à l'évidence que le Pays Basque ne fournissait rien du tout à l'Armée ennemie.
Par contre, nous sommes quand même revenu avec une explication pour l'absence d'attaques lourdes dans cette région. Le Pays Basque est envhi depuis semble-t-il longtemps, et les habitants nous l'ont confirmé, par un nuage de mouches qui ont du gêner les manoeuvres ennemies.
Mais attention à qui veut croire que le Pays Basque est un havre de paix puisqu'il échappe à ce conflit. La présence des mouches et les maladies qu'elles véhiculent sont une menace importante pour les populations allochtones.
Ainsi se termine mon rapport.
Vive la Résistance